A l’occasion de réunions concernant la dynamisation de la rue du Fort, certains habitants ont manifesté le désir de voir plus de propreté dans cette rue et de la verduriser.
Le projet, déposé avec le soutien du CODES, consiste à créer des protections pour les pieds d’arbre de la rue du Fort, d’y planter des petits buissons touffus résistant aux sacs poubelles, de créer des balconnières avec plantes fleuries. Il s’agit de aussi de faire adopter chaque arbre par un habitant voisin de celui-ci et par un jeune. Ils décideraient ensemble de la décoration de la protection et veilleraient ensemble à son entretien et à sa « bonne santé ».
Depuis de très nombreuses années, les habitants de la rue du Fort et des rues avoisinantes déplorent le carrousel intempestif des camions qui viennent livrer (par l'arrière) le Match. Pourtant, en son temps, la Direction du magasin avait garanti que les nuisances seraient très limitées.
Nous n'avons visiblement pas la même notion des limites. Il est très régulier qu'il n'y a tout simplement pas moyen, pour les véhicules, d'emprunter la rue dès le Parvis. Et parfois pendant de trrrrrrrrrrrès longues minutes. Cette situation est tout bonnement inacceptable !
La collecte des sacs poubelle a donc subi un sérieux lifting pour - notamment - de prétendues raisons d'économie. En gros, le ramassage des sacs blancs se fera toujours deux fois par semaine. Les déchets verts se feront une fois. Quant aux autres déchets (les sacs bleus et jaunes pour le recyclage), ils ne seront plus ramassés qu'une seule fois par semaine en alternance. Visiblement, ce qui posait problème, c'est que les camions-poubelle ne disposaient pas de compartiments de tri. Le boulot devait donc être fait manuellement après la collecte. On aurait pu imaginer qu'en termes d'investissement, la Région s'équipe de ce type de camions. Soit.
Nous voyons quand même dans le nouveau dispositif (appliqué depuis cette semaine du 7 janvier 2013) au moins deux problèmes :
L'année 2013 commence donc très bien : le bureau de poste de la rue Sterckx a - enfin - vraiment déposé une demande de permis pour aménager l'entrée de ses locaux. Enfin, nous n'avons pas encore pu lire le dossier soumis à l'enquête jusqu'au 14 janvier prochain.
Notre action du mois de décembre a suscité pas mal de remous. Rappelez-vous : Saint-Nicolas lui-même avait soutenu notre action. Nous avions ainsi déposé un courrier réclamant - au moins - un plan incliné. Nous avions même glissé les coordonnées d'un fabriquant de ce type de construction (même le prix figurait dans le courrier).
Johnny Thijs, l'administrateur délégué, nous écrivait déjà le 18 décembre que "une demande de permis d'urbanisme a été introduite auprès de la Région de Bruxelles-Capitale en date du 10/2/2012."
Le Conseil Communal a voté la création d'une école primaire de type 8 [troubles instrumentaux] à la rue Coenen. L'établissement pourra accueillir 120 enfants. En termes de rénovation, le bâtiment pourra compter 3 étages. Il en compte deux mais dont les plafonds sont très hauts de sorte que l'architecte propose d'en ajouter un - sans, visiblement, toucher au gabarit. C'est une bonne nouvelle pour les familles qui doivent parfois conduire leur enfant dans un établissement d'enseignement adapté assez éloigné. A la clé aussi, la création de plusieurs emplois.
Les saint-gillois connaissent bien cette dent creuse dans le haut de la rue de la Victoire (aux numéros 198 et 190). Les tagueurs ont fait un sort au mur et au portail métallique avec un bonheur plus que discutable ... (voir photo ci-dessus)
Le terrain vague qui occupe l'espace à l'arrière (voir photo ci-dessous) laissera peut-être bientôt sa place à un projet immobilier d'envergure. La société anonyme Coftna a demandé un permis de construire un ensemble assez imposant sur ce terrain. De nombreux habitants se sont mobilisés contre ce projet.
Le "plan froid 2012" a été présenté hier à l'Assemblée Plénière de la Coordination Sociale. Un dispositif qui permet aux professionnels de réagir aux demandes des personnes qui éprouvent des difficultés en hiver. S'il touche essentiellement les sans abris, d'autres publics fragiles sont concernés au premier chef. L'accent a été mis sur le fait que beaucoup d'associations travaillent toute l'année sur la question de la précarité. L'hiver n'est pas le seul moment où les publics en difficulté ont besoin d'aide et de points de chute pour répondre à leurs besoins.
Près de 900 places seront ouvertes dans plusieurs implantations dès le 3 décembre 2012. Si le gel se manifeste avant cette date, le dispositif sera enclenché (à partir du 26 novembre).
En quoi consiste le «plan froid» ?