Changement d'adresse
- Dorénavant, vous pouvez nous contacter à l'adresse info@lecodes.be (l'adresse hotmail n'est plus active)
La poste ne sort pas grandie de la pose récente d'un élévateur. Les responsables nous promettent depuis plus de six ans une solution pour permettre l’accès aux bureaux de la rue Sterckx [près de la Barrière]. Les Saint-Gillois ont une nouvelle fois été trompés.
Après avoir déposé de multiples demandes de permis – pour autant de non-réalisations, BPost a cet hiver fait encore plus fort : elle a installé un élévateur… qui ne fonctionne pas !
Ce n’est pas bientôt fini, ce cirque ?
Nous avons donc, avec quelques-uns de nos membres été le dire, le 17 février, jour du mardi gras.
Nous avions au préalable questionné le personnel de la poste. Bien malgré eux, les guichetiers doivent sans cesse expliquer aux visiteurs qu’ils ne savent pas quand le dispositif serait opérationnel.
Qu'est-ce qui en bloque donc sa mise en marche ?
C'est tout bête : il manquerait un boîtier de commande. Et il faut que le certificateur (la société Vinçotte) donne le feu vert.
Point 20 : Demande de permis d'urbanisme PU2011-286 tendant à construire 1 immeuble à rue de 24 logements, 4 maisons unifamiliales en intérieur d’îlot et 1 niveau de parking sise rue de la Victoire de 188 à 190 introduite par COFYNA S.A., Monsieur Steven VAN HERPE
Considérant que pendant l’enquête publique qui s’est déroulée du 25/11/2014 au 09/12/2014, le courrier suivant est arrivé au nom du Collège des Bourgmestre et Echevins :
193 lettres
EXPOSE DU DOSSIER
Situé : PRAS : zone mixte en zone d'intérêt culturel, historique, esthétique ou d'embellissement en liseré de noyau commercial en point de variation de mixité le long d'un espace structurant
PPAS :/.
RCU : /
Zone de protection : /
DEROGATIONS :
dérogation à l'art.6 du titre I du RRU (toiture - hauteur)
dérogation à l'art.4 du titre I du RRU (profondeur de la construction)
Soumis à l’avis de la commission de concertation et aux mesures particulières de publicité pour :
dérogation à l'art.6 du titre I du RRU (toiture - hauteur)
application de la prescription générale 0.6. du PRAS (actes et travaux portant atteinte aux intérieurs d'îlots)
L'Association syndicale des magistrats (asbl), en collaboration avec INTER-ENVIRONNEMENT BRUXELLES
organise le jeudi 26 février 2015 de 12h30 à 14h30 au
Palais de Justice de Bruxelles - Place Poelaert 1 à 1000 Bruxelles
rez-de-chaussée – salle 0.12 – ancienne salle des référés
une rencontre/débat sur le thème du projet de construction de la prison de Haren et pose d'emblée la question : LES CAROTTES SONT-ELLES CUITES ?
Seront aussi abordés dans ce cadre la politique pénitentiaire, la mobilité et le débat démocratique.
Les invités :
Un(e) représentant(e) du SPF Justice, sous réserve
Alain COURTOIS, député et premier échevin de la ville de Bruxelles
Isabelle PAUTHIER, directrice de l'Atelier de recherche et d'action urbaines (ARAU)
Hans CLAUS, ASBL Les Maisons – De Huizen, Liga voor Mensenrechten, sous réserve
Stéphane BOONEN, bâtonnier de l’Ordre français du barreau de Bruxelles
Modérateurs : Claire SCOHIER (Inter-Environnement Bruxelles) et Hervé LOUVEAUX (ASM)
Il y a quand même un petit truc qui m'échappe dans le chef des responsables de BPost. Depuis que nous demandons de prévoir un dispositif d'accès aux bureaux (de la rue Sterckx) pour les PMR, nous avons la très désagréable impression que l'on se moque des saint-gillois.
Je passe les diverses pérégrinations qui nous occupent depuis 6 ans maintenant - vous trouverez plusieurs articles les égrainant.
Quoiqu'il en soit, donc, la poste a installé un élévateur ... qui est mis sous capote. Est-ce donc déjà cassé ?
Nous avons été interroger le personnel qui nous a confié que ... l'installateur devait encore installer un boitier.
Mais non, on ne se moque pas de nous. C'est juste une question de temps. Je prends immédiatement contact avec Saint-Nicolas. Pas sûr qu'il sera ravi.
Et mon petit doigt me dit que c'est bientôt Carnaval. On va rire ....
Voici l'avis émis par la Commission de Concertation à propos de la demande de permis pour le site situé rue de la Victoire 188-190 :
Considérant que le bien se situe en zone mixte et en zone d'intérêt culturel, historique, esthétique ou d'embellissement du Plan régional d'affectation du sol arrêté par arrêté du Gouvernement du 3 mai 2001 ;
Considérant que la demande vise à construire 2 immeubles à appartements avec 2 niveaux de parking ;
Considérant que pendant l'enquête publique qui s'est déroulée du 12/11/2012 au 26/11/2012, 45 lettres ont été déposés, dont une pétition de 18 signatures, et une réclamation est parvenue hors délai ;
Considérant que ces réclamations portent essentiellement sur :
Le programme : trop gourmand, densité plus élevée que la moyenne saint-gilloise, rentabilité extrême,
Les saint-gillois connaissent bien cette dent creuse dans le haut de la rue de la Victoire (aux numéros 198 et 190). Les tagueurs ont fait un sort au mur et au portail métallique avec un bonheur plus que discutable ... En réalité, le chancre était déjà l'objet de mécontentement d'habitants - le Saint-Gilles Midi #3 en faisait l'écho - en 1981 ! Cet espace est abandonné depuis 34 ans ! Une honte !
Il y a un peu plus de deux ans, la société anonyme Coftnaun, propriétaire de cette parcelle, avait déposé une demande de permis d'urbanisme.Le terrain vague qui occupe l'espace à l'arrière devait laisser sa place à un projet immobilier d'envergure. Le promoteur avait en effet demandé le permis de construire un ensemble assez imposant sur ce terrain. De nombreux habitants se sont mobilisés contre ce projet.
Le plan froid est mis en place depuis un certain temps. Voici ce qui nous est communiqué pour Saint-Gilles par le CPAS et le Resto du Coeur.
Saint-Gillois(es)
Ne restez pas dans le froid.
Nous pouvons vous aider.
En ces périodes de grand froid,
DÈS QUE L’IRM PRÉVOIT DES TEMPÉRATURES NÉGATIVES ET JUSQU’AU 31 MARS 2015
Vous êtes peut-être confrontés à des difficultés,
Ou vous connaissez des personnes qui souffrent :
Chauffage défectueux, Gaz ou électricité coupés,
Soucis de paiements,
Difficultés de se procurer des repas,…
LE CPAS DE SAINT-GILLES EST LÀ POUR VOUS APPORTER DE L’AIDE, RÉSOUDRE ET PRÉVENIR CES PROBLÈMES.
La commune de Saint-Gilles compte actuellement plus de 52.000 citoyens (elle n’en comptait « que » 48.000 il y a 5 ans : le boom démographique est passé par là). Or, pour satisfaire la clientèle, ce ne sont plus que deux bureaux de poste qui restent en place – ceux de la rue de Moscou et de la Chaussée de Charleroi ont été brutalement fermés.
De plus, nous déplorons que l’un des deux bureaux restants – celui situé à la gare du Midi - soit totalement décentré et ne semble être destiné qu’à couvrir les besoins des navetteurs.
Mais ce n’est pas tout !
Chouette expérience ce soir. Je suis dans le tram 81 [le 7910A] à hauteur de l'arrêt "Avenue du Roi" vers Montgoméry. Il est 17.24. Le tram s'arrête : normal - c'est l'arrêt. Le chauffeur débarque et se fait relayer par un autre conducteur. Hum. Pas si vite. Il ne monte pas car ... il est en avance de 1 minute 40. Waaaaaw. Et donc, le conducteur fume une cigarette, malgré les protestations de plusieurs passagers. IL EST EN AVANCE ! Et il repart à 17.26. Je descends place de Bethléem. Le tram s'immobilise 20 mètres plus tard. Bloqué plusieurs minutes par une voiture en train de manoeuvrer. Je me poste devant mon ordinateur à 17.32 et vérifie les horaires du tram. L'image ci-dessous est parlante en soi. Mais bon sang : de qui se moque-t-on ? Ben, de l'usager des transports en commun, pardi.
Dès 1973, des habitants de Saint-Gilles se mobilisent autour de la Cité Fontainas menacée de destruction.
En ces temps-là, on ne parlait pas encore de rénovation… Le bâtiment sera sauvé et un projet d'aménagement global de l'îlot Fontainas maintiendra le tissu urbain.
C’est alors que commence la grande aventure.
Depuis lors, les interventions du Comité de Défense de Saint-Gilles (CODES) ont permis à maintes reprises de sauver tant des immeubles que quelques morceaux de quartier. La dimension «logement pour tous» s’est imposée et reste très présente au sein du CODES.
Tout comme les questions liées à la mobilité.
Nos combats se traduisent au quotidien par :
Oyez ! Oyez ! Braves gens. En cette période de pré-canicule, je suis fier de vous annoncer que notre prochaine AssHab [Assemblée d'Habitants] aura lieu le 23 septembre de 19 à 21 heures au Pianofabriek [en principe dans la salle Casablanca 1]. Si vous souhaitez participer à ce haut lieu de l'information et des échanges entre saint-gillois (et plus si affinités), il suffit de nous le faire savoir en nous envoyant un gentil petit mot à : lecodes@gmail.com. L'adresse lecodes@hotmail.com ne fonctionne plus pour l'instant. Ce sera aussi l'occasion de vous présenter les nouveaux membres de notre Conseil d'Administration.
A l’occasion du Parcours d’Artistes 2014, Catherine B, membre du CODES, expose à l’asbl "Blanches et Noires" au 111, rue Vanderschrick à 1060 Saint-Gilles.
Cette année, en effet, l’asbl Blanches et Noires ouvre ses locaux à des artistes aux techniques et aux personnalités très différentes pour le projet "PIXEL", une manifestation collective qui allie arts plastiques, collages, peinture, photographie et techniques mixtes.
Antonio Jimenez Saiz : Éclipse de Soleil. La nuit ne porte pas sa raison ...
Photographies noir et blanc
Claudine Ruelle : Elle expose depuis 1970 en Belgique et à l’étranger. Technique mixte, acrylique, pastels secs, monotype, empreintes illustrant des paysages imaginaires sous formes de strates.
Dans le cadre du parcours d'artistes, "Dernières nouvelles de mon îlot" propose une théorie saint-gilloise développée par un physicien et un photographe attentifs qui contemplent le quotidien d'un intérieur d'îlot dans sa relation au monde qui l'entoure.
Sentir, voir et entendre le vent, c’est faire l’expérience poétique et sensuelle du plein et du vide, du dehors et du dedans. Quand l’air autour de nous, d’ordinaire perçu comme immatériel, assimilé sans effort dans le mouvement de la respiration, prend soudain une épaisseur qui résiste à la marche, on se sent empli d’une vitalité singulière. Tant d’énergie consumée dans le ballet infini des anticyclones et des dépressions, voilà qui nous émerveille et étrangement nous conforte. Car dans notre imaginaire, une terre que le vent parcourt a des ressources immenses. Par-delà les frontières visibles, dans les régions lointaines d’où le vent souffle, on pressent que s’élaborent les mondes nouveaux.
Depuis dimanche dernier, le 4 mai, la rue du Fort accueillera chaque dimanche une brocante pendant les heures du marché du Parvis. Les objets de brocante pourront être offerts à la vente à l’exclusion des vêtements et du textile.
C'est une initiative communale que nous saluons avec enthousiasme. En effet, le marché dominical était franchement moribond. Un nouveau souffle devait être proposé au quartier. C'est précisément ce que nous réclamions notamment dans le cahier de revendications déposé en janvier dernier. Nous avons été entendus.
A mi-chemin entre la Barrière et l'avenue Fonsny, la place de Bethléem a bénéficié de l'attention (toute relative) de ceux qui ont pensé l'embellissement de la rue Théodore Verhaegen. Force est de constater que le résultat n'est pas à la hauteur de ce que l'on pouvait espérer. Et ce n'est pas fini.
Au Comité de Défense de Saint-Gilles, nous n'avons pas pour habitude de nous plaindre lorsqu'un projet améliore réellement et avec pertinence la voie publique. Dans le cas de la place de Bethléem, il y a de quoi être perplexe.
Evoquons d'abord les points (les plus) positifs :
Il y a enfin une station Villo.
La modification du dessin de la route.
Les conteneurs pour les collectes sélectives enterrées.
Mais nous ne pouvons manquer de souligner ce qui ne va pas - ou n'a pas été.
"La moindre des choses" est une plateforme de réflexions et d’actions en ligne qui touchent différents domaines . Ils l'annoncent sur leur site ce sont des choses qui "leur parlent, leur posent question". Il s'agit aussi d'un lieu où il peut se passer des tas de choses. Plusieurs expositions ont déjà été programmées dans ce lieu à un jet de pierre de la rue du Fort [21 rue Dethy].
Le lieu participe cette année au parcours d'artistes de Saint-Gilles et Forest. C’est la moindre des choses, disent-ils. Le minimum. Autrement dit, “le moins qu’on puisse faire” selon nous : partager sur différents sujets avec engagement, accepter d’être goutte d’eau dans la mer, devenir grain de sable dans le rouage. La moindre des choses, une manière d’agir à notre échelle.